J'ai lu sur The Drawing Board, où les caricaturistes émérites sont légion, que caricaturer les personnes que l'on apprécie est un bon moyen de progresser, car on n'a pas envie de les rater. Je crois que c'est vrai.
Michael Berryman est un acteur pour lequel j'ai beaucoup de sympathie. Son physique inquiétant, les rôles qui lui sont attribués, son jeu allant de la simple force de sa présence au sur-jeu total font de ses apparitions des moments que l'on oublie rarement.
Son physique se prête à la caricature. Et pourtant, il a tellement de caractéristiques uniques que TOUT peut être exagéré! Faire les bons choix s'est avéré plus difficile que je ne le pensais au départ.
Et comme pour Danny Trejo, une trogne qui sort une fois de plus de The Devil's Rejects. Un vivier à vraies sales gueules, dans lequel je risque encore de puiser quelques futures victimes...