Je me suis promis que cette année serait plus artistique qu'attentiste, plus carrée qu'à l'arrêt, plus imaginative qu'image inactive, plus dessinée que décimée... Peut-être il y aura des si... mais, des non plus, des plus le temps, des tant pis... Mais le pire est que plus rien n'inspire, que la douleur gagne sur la couleur, que l'on ferme la porte à ses passions. Alors passons le seuil, laissons l'an porter ses fruits, que l'emporte pièce par pièce, et que l'on porte l'art et du cochon!
Et pour partir sur de nouvelles bases, faisons table rase des anciennes. T'as bu la rasade comme disent les latins enivrés. Des projets non livrés, jamais publiés par manque de satisfaction, manque de confiance, manque d'idée, manque de mots, de motiv, de motivation, parce que ce n'est pas du beau, du bon, dubonnet.
C'est donc par un titre en hommage à Franquin et à ses idées noires que je vois rouge en ce jour.
On rougit par pudeur, par honte, par timidité, parti politique, par la peau les tiques, parce qu'on est
gêné dit, par le génépi, pardi! Le génépi désinhibe, on se met à nu! Cliquez donc sur ce dessin pour y
voir des seins:
Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme: cette peinture datée de 2013, est basée sur ce dessin
que j'ai fait en 2011 pour exercer le crayon:
Dessin lui-même basé sur cette photo trouvée en cherchant des références avec des clairs-obscurs marqués:
Alors oui, j'ai du retard à publier. Mais je dure tard pour ces billets, et comme l'envie revient, je reviens
à la vie...