Non pas que le singe rit, mais plutôt que ma piètre maîtrise de l'aquarelle s'apparente aux capacités artistiques d'un gibbon. Et j'y bon, j'y bon... j'y pas si bon que ça, mais bon...
Il s'agit là de ma troisième aquarelle, les deux premières étant de simples tests de sensations. J'avoue être assez emballé par la technique. C'est rapide et fluide, mais j'ai eu beaucoup de mal à correctement représenter la texture de la fourrure. D'où le léger complément au crayons de couleur marrons.
La technique est difficile, mais je garde espoir. Je m'essaierai peut-être à l'aquarelle en noir et blanc. Car je reste un jeune singe à qui l'on peut encore apprendre à faire la grise masse.